Costume national azerbaïdjanais

Le costume national azerbaïdjanais est une très belle tenue qui reflète toutes les spécificités nationales du peuple. Dans le processus de création d'une poursuite a subi des changements, ainsi que son pays. Le costume national est distinctif et beau. Chaque détail est un symbole spécifique.

Les gens ont appris à confectionner leurs vêtements à une époque très lointaine. Les fouilles archéologiques découvertes sur le territoire de l'Azerbaïdjan indiquent la présence de cette capacité trois mille ans avant notre ère. heu Puis des aiguilles de bronze et des aiguilles à tricoter, des bijoux en or, des vases d'argile en forme de chaussures ont été trouvés. Tout cela parle de la compétence des gens et du développement de la culture déjà à cette époque.

Au 17ème siècle, l'Azerbaïdjan était considéré comme l'un des principaux domaines de production de la soie. Les tissus étaient célèbres pour leur beauté, leurs motifs. Les écharpes et autres objets étaient d'une beauté incroyable.

Comme dans tout costume national, les Azerbaïdjanais ne présentent que de nombreux traits inhérents.

Les couleurs sont dominées par des nuances juteuses d'un rouge vif. Et même la robe de mariée, la mariée la coud en rouge. Pour les Azerbaïdjanais, le rouge est un symbole de bien-être et de bonheur. Le mot "Azer" lui-même est traduit de l'arabe par le feu.

Les jeunes filles préfèrent porter des robes d'étoffes brillantes et bigarrées décorées de divers motifs dorés. En ce sens, elles étaient si différentes des Géorgiennes et des montagnardes qui préféraient porter des vêtements de couleurs sombres. Par conséquent, les couleurs vives sont une caractéristique distinctive du costume national azerbaïdjanais.

Le matériel utilisé pour la fabrication des costumes était varié, tant dans sa fabrication que dans ses importations. Au local, la soie appartenait, ce qu'ils ont appris à faire pendant très longtemps. Pour les vêtements de tous les jours, utilisez du lin, de la laine ou du chintz. Les gens riches pourraient porter des vêtements de tissus plus coûteux - velours, soie, tissus fins et tirés.

Finir les vêtements pourrait faire de la tenue la plus simple un costume cher et riche. Des artisanes avec des broderies avec des perles, des fils d'or et d'argent, des galons, des lacets minces ont créé une véritable œuvre d'art. Habituellement décoré les bords des vêtements, des manches, des étagères caftans. Les vêtements décontractés étaient ornés de lignes lumineuses.

Ils utilisaient des pièces de monnaie en métaux précieux comme ornements pouvant être collectionnés par des générations entières.

Les hommes, Azéris, portaient une chemise, un pantalon et un beshmet rétréci à la taille tandis que par temps froid, un manteau en peau de mouton était porté d'en haut. Parmi les affaires de costume pour hommes, Circassian s'est démarqué. Circassien sur une chemise nichée dans un pantalon, des bottes et un chapeau sur la tête, voilà à quoi ressemblait un véritable homme en Azerbaïdjan. Au fil du temps, les Cosaques de Terek et de Kouban ont adopté cette image des hommes du Caucase du Nord.

Dans un garde du corps circassien au corps moulant, un guerrier de race blanche était très beau à cheval: épaules larges, taille fine et silhouette musclée. Cercle porté boutonné, manches coudées. Sur la poitrine sont des poches spéciales - gazyrnitsy. Des tubes gazeux y ont été insérés, dans lesquels il y avait de la poudre à canon pour exactement un coup, ou des balles formées. La grande taille des poches a permis d'éviter les blessures causées par les coupures lors de l'attaque d'un adversaire. Au fil du temps, les gazyrnitsy ont perdu leur raison d'être directe et sont devenus un élément de décoration.

L'attribut obligatoire de la combinaison était une ceinture, qui pendait des armes froides.La coiffe était un chapeau de mouton ou d'astrakan.

Le costume féminin consistait en une chemise dont les manches étaient élargies jusqu'au bas, un court caftan et une longue jupe moelleuse. Toutes ces choses étaient brodées et décorées de diverses décorations: fils d'or, motifs variés, monnaies précieuses. La robe était cousue de tissu brillant, généralement rouge.

Des casquettes de différentes formes, des casquettes, des foulards de différentes couleurs et tailles ont été mis sur la tête de la femme. Les filles non mariées se couvraient la tête avec un chapeau ressemblant à une calotte, décoré de perles ou de soie. Les femmes mariées ont attaché quelques écharpes sur la tête, un tel chapeau s'appelait dingya.

Ils portaient des chaussettes ou des bas aux pieds, avec des motifs différents. Ils ont été tricotés par les femmes elles-mêmes, en laine ou en fil de coton. Les motifs sur les bas ressemblaient à ceux des tapis.

Les chaussures pour femmes étaient des chaussures sans dos, avec un nez pointu et un petit talon. Ils ont été portés pendant la saison chaude. Et en hiver, à pied, on mettait le charyg en cuir brut.

Les hommes portaient des charygs à la campagne et dans la ville, des souliers sans dos ni bottes.

Les accessoires servaient de décorations diverses. Les filles ont commencé à les porter dès l'âge de 3 ou 4 ans, plutôt comme un talisman contre le mauvais œil. Et pour le mariage, la fille avait déjà rassemblé toute une collection de bijoux. Les porter n'était pas toujours autorisé. Il était interdit de porter des bijoux pendant une cérémonie religieuse, pendant 40 jours après le décès ou l'accouchement. Les femmes plus âgées ne pouvaient porter que des boucles d'oreilles modestes et une paire de bagues. La différence entre les riches et les pauvres n'était pas trop perceptible, ils étaient de type similaire. Les riches en bijoux avaient des pierres précieuses, ils pourraient être plus difficiles à exécuter.

Avant le mariage, les filles ne portaient pas de ceinture du tout. Lors du mariage, les parents de la mariée lui ont donné la première ceinture - Kemer. Après cela, la femme a commencé à porter une ceinture, ils ont déjà montré son statut de marié dans la société. La ceinture était ornée de pièces de monnaie et fermée par une grande boucle aux crochets.

Maintenant, dans les rues d'Azerbaïdjan, on trouve des gens qui ne portent plus de costumes nationaux. Ils ont été portés jusque vers le 20e siècle et un peu plus longtemps à la campagne. Mais vous pouvez les voir dans des représentations théâtrales, des musées.

Mais pour le moment, de nombreux créateurs européens ont pris pour base l'idée d'un bloomer, d'une jupe longue, d'un vêtement de dessus, similaire au costume national azerbaïdjanais. Par conséquent, en voyant de telles choses dans des vêtements italiens, ne soyez pas surpris. Les designers locaux en Azerbaïdjan commencent également un retour à leur culture de la mode.